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Par nettoue le 28 Septembre 2013 à 08:55
"Achille, dis-moi pourquoi t'as d'la moustache ?" Chanson célèbre en son temps, n'ayant rien à voir avec l'Achille de la légende issue de "L'Yllade", narrée ci-dessous.
Donc Achille est un demi-Dieu : Il aurait pu l'être en entier... et surtout à bien failli, mais les cancans en ont décidés autrement !
Tout ça fut la faute de Zeus, V'oui, Zeus qui se voulait épouser Thétis, car il en était amoureux. Seulement sur le point de lui demander sa main, bêtement, il se prit à écouter les ragots (Pour un Dieu comme lui devenu plus connu encore en raison de son tonnerre, "Tonnerre de Zeus", dont on parle encore de nos jours, la chose n'est pas classe du tout, mais bon, à chacun sa vie !
Donc Zeus, entendit chuchoter que le futur fils de Thésis serait tellement grandiose que sa gloire ternirait celle de celui par qui il serait engendré. Prudent, car se prendre des baffes par son rejeton, surtout moralement ça fait quelque chose... Il renonça donc à prendre ce risque.
La jeune Dieu Thétis épousa donc à la place de Zeus, un mortel du nom de Pelée, roi de Thessalie, car cet homme issu de la mythologie d'en bas, n'avait pas de ces inquiétudes.
Afin, de mettre toutes les chances du coté du poussinou fabriqué la nuit même de ses noces, maman Thétis, lui fit prendre aussitôt né, un bain dans le Styx, ancêtre de la potion magique d'un certain druide gaulois...Seulement comme Achille ne sait pas encore nager, prudente sa maman le tint par un talon afin de ne pas le noyer : (Comme quoi même en étant une Dieu, on peut faire des boulettes).
Pour l'aguerrir encore plus, Thétis choisit le centaure Chiron, comme gardienne à la journée quand elle-même vaque à ces menus travaux de ménagère et le fit élever à la moelle d'ours : (De là l'expression se faire sucer jusqu'à la moelle, chose étant en train d'arriver aux contribuables français) !
A ce régime, les instincts guerriers du petit Achille se développe rapidement. A dix ans, il s'inscrit, de manière à y avoir une place plus tard, dans la même équipe d'élites qu'Héraclès, sorte de commandant de notre GIGN actuel : Seulement, lors de cette inscription il faut faire un choix des plus cornélien : Avoir une vie longue et paisible genre travail dans un ministère, ou plus courte et semée d'embûches au point de mourir jeune !
Vous savez comme sont les jeunes, enfin quelques uns, fougueux et souvent irréfléchis, en l'absence de sa maman Achille choisit le second, et ce d'autant plus qu'il sait qu'elle à le bras long. Cela ne manqua pas car, dès qu'elle fut au courantde ce choix, elle fit aussitôt protéger, le garnement par une foultitude de copains Dieu, maîtres de l'intelligence, tel Athéna, Héphaïstos, et Hermès, avant de le confier à Lycomède, roi des Dolorès, établi à Scyros.
Et Achille grandit donc au milieu des femmes et filles de ce bon roi pacifique. Il épousa même l'une d'elle et en eu deux enfants : De cette époque ses rapports affectifs garderons toujours, un coté gnangnan, attrapé en étant bichonné et surprotégé par une armée de nanas !
Mais comme il est naturellement bon, son coté amour et devoirs deviendra un temps, encore plus prononcé que celui d'Hercule. Et puis, un jour voilà qu'Ulysse découvrit sa cachette au cours d'un de ses voyages... On se demande bien de quoi il se mêla , d'autant qu'au lieu de laisser sa Pénélope à sa broderie pendant qu'il batifolait, entre-autres avec Circé, la mangeuse d'homme, il aurait mieux fait de s'occuper de ses oignons !
Mais que nenni, vu les qualités de demi-Dieu et la grande taille de sa prise, faisant fi de sa seule faiblesse le talon qui ne fut pas tremper dans le Styx, il le persuada de partir avec lui, à la conquête de Troie à la tête des Myrmidons.
Personnifiant la bravoure et une impétuosité longtemps contenue dans les dentelles des épouses de Lycomède, l'intelligence aussi il apparait comme le seul capable de mener la prise de Troie à bien.
Retour de bâton, Achile qui fut tant gâté, est aussi chiant et coléreux, ce qui l'amène à chercher noise sans raison valable à Agamemnon, au sujet d'une dame captive à Troie : une certaine hellène. Il refuse donc de l'aider malgré les prières d'Ulysse.
Son énergie, il veut la dépenser autrement. On lui demande son aide sur la terre ferme, il s'en va cartonner sur les eaux grecs y fait un carnage tel que la quantité de morts tombant dans le fleuve Xanthe, le fera déborder : (La vache) !!!
Un peu plus tard il apprends la mort de son ami Patrocle, et veut la venger, in petto : Pour ce faire il tue hector, attache son corps derrière son char et part au galop pour le seul plaisir de lui râper le cul sur les cailloux du chemin.
Il n'arrêtera son cheval qu'après en avoir été enjoins par les Dieux et par le père d'Hector.
Plus tard, Achille périra d’une flèche à celui de ses talons maintenu hors de l'eau par maman Thétis, cette flèche sera guidé à "pied d’œuvre", par Apollon qui ne pouvait pas le saquer.
A demain mes ami(es). merci de votre fidélité et n'oubliez pas "Et Op, n p'tit com pour Nettoue"
(publié le 28 septembre dans "Du haut de l'olympe")
23 commentaires
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Par nettoue le 14 Juin 2013 à 08:33
Et Hercule reprit la mer, tous sur l'île salue son départ avec enthousiasme, faut les comprendre....
Après plusieurs jours de navigation, les marins arrivent peu à peu à refermer la bouche, mais plusieurs avec des coquilles d’œufs entre les dents et des omelettes sur la langue.
Pour se ravitailler, le héros décide de faire escale en Mysie où il se réjouit de revoir son vieux copain de sixième, Lucos, alors en guerre contre le peuple de Bebyces.
A nouveau gentil et serviable, il lui propose même d'exterminer ce peuple, à lui tout seul, ce nouvel exploit le met en bouche car il lui faut de l'exercice à ce grand gaillard. Il repart ensuite dans les terres orientales où il sait y trouver les belles amazones et les voilà à nouveau embarqué pendant de longs jours, car Héra, leur ayant couper les vents et à la rame, sur que la chose est moins aisée. Fâchée cette fois pour de bon, papa Zeus, l’enchaîne sur un siège de toilette, en se disant non sans justesse, que quitte à faire chier quelqu'un, autant que ce soit elle et à pied d’œuvre encore.
Aussitôt, le vent regonfle la voile et Hercule peut enfin accoster dans le port de Themcyre en Bithynie.
La reine des amazones, Hippolythé en personne arrive aussitôt suivie de quelques centaines de guerrières, tous sont subjugués par leur beauté, surtout celle de la reine, sauvage,hirsute, vêtue de morceaux de fourrure, la peau brunie par le soleil, les bras finement musclés par l’habitude des batailles à l'arc et aux glaives, ses jambes dévoilées jusqu'à sa foufounette touffue, sont longues et galbées à la perfection.
Hercule, en bave de convoitise, et puis cela va au delà : Leurs yeux se croisent et le coup de foudre est immédiat : Certes, la large ceinture d'or qui entoure la fine taille de la fille d'Arès, le Dieu de la guerre, que celui-ci lui offrit pour bien marquer sa suprématie, y est bien pour quelque chose, mais la réaction brutale de son corps, tout comme celle de son cœur qui s'est mis à battre aussi forts que les coups du Dieu Vulcain lorsqu'il aplati la lame de ses couteaux, est sans équivoque... Il est amoureux et cela complique beaucoup le déroulement de sa mission.
Hébété, Hercule, la suit sans méfiance quand elle l'invite dans sa grotte aux ébats : Il agit certes comme un benêt encore puceau, (Ce qui est loin d'être le cas puisqu'il est, entre-autre, le père d'une cinquantaine de pitchounets), mais l'attrait éprouvé est bien réel, puisqu'il n'hésite pas à lui avouer le but de son voyage.
La reine l'écoute d'une seule oreille et encore, celle-ci bruisse-t-elle des effets de son émoi ! Rhôoo, c'est beau ça ! Les pectoraux de son invité l'attirent irrésistiblement. La vue de ses cuisses musclées l'assèche, (la gorge seulement)... Quant à sa barbe foisonnante, elle lui donne des envies pas racontables, Hippolythé la sauvage est conquise, envoutée, amoureuse pour la première fois de sa vie !
Comme dans un rêve, elle dégrafe sa ceinture, la pose sur sa couche, se dégraphe elle-même entièrement, avant de dégrafer Hercule.
Rhâaalala, quelle nuit ! Mais c'était sans compter avec Héra qui s'est échappée de son WC, en se suspendant à la chaînette de la chasse d'eau, laquelle lui permit en se balançant de s'envoyer en l'air... et de venir déguiser en amazone répandre le bruit qu'Hercule était là pour enlever la reine.
Le martellement des sabots de chevaux et le claquement des rapières en colère réveillèrent Hercule qui, laissant Hippolythé endormie et souriante aux anges se risqua un œil en dehors de la grotte.
Mal réveillé et il faut l'avouer raplapla, suite à ses ébats nocturnes cent fois répétés, il pensa aussitôt avoir été attiré dans le piège des appâts non négligeables de la reine, afin de laisser le champs libre aux amazones qui en profiteraient pour occire son équioe.
Il les aimait bien ses compagnons et puis, pour peu qu'Héra lui coupe à nouveau les vents, il serait obligé de s'en revenir à Mycènes en ramant tout seul !
La réflexion n'étant pas son fort, il poignarda Hippolythé, s'empara de la ceinture qu'elle était prête à lui donner par amour et s'en fut combattre les nanas déchaînées en usant de la massue qui impressionna tant leur reine.
Bref, à son habitude, il dévasta beaucoup, puis héla ses compagnons, sauta dans son bateau et prit le large en serrant la ceinture magique sue son cœur.
Bon, il eut encore quelques petites misères à surmonter en rentrant, mais dans l'ensemble le roi Eurysthée fut content de lui et lui autorisa quelques vacances avant d'entreprendre son quatrième ouvrage !
A demain mes ami(es). Merci de votre fidélité et n'oubliez pas "Et Op, un p'tit com pour Nettoue".
(publié le 14/06, dans "Du haut de l'olympe")
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Par nettoue le 31 Mai 2013 à 08:02
Les amours de la déesse continuèrent d'être nombreux et variés, elle aime et personne ne peut lui résister : Sa sensualité est telle que les mortels tombent en pâmoison, si ce n'est le cul dans le purin, en la voyant passer sur son cheval, alors qu'ils sont en train de vaquer aux travaux des champs : (la solidarité féminine obligeant, il est inutile, à mes blogpotes de me demander son numéro de portable)
Etant la mère du prince Enée, elle protège les troyens, on la dis même responsable de la guerre de Troie, à laquelle elle participa, et fut blessée par Diomède, puis par Athéna.
Elle guérira cependant grâce à la ceinture magique qu'elle porta autour du cou en guise de peinture de guerre, par contre, dégoutée pour un temps des chamailleries guerrières Aphrodite, partit œuvrer dans des lieux plus propices à ses occupations habituelles / Ainsi, elle favorisa les mariages de toutes sortes et fit en sorte d'activer la fécondité des humains, se fit marraine pour le plaisir de chatouiller les petits pieds des nourrissons, tout en louchant sur les testicules de leurs père....Mais attention, si les propriétaires des plus attractives, faisaient mine de lui résister, elle n'hésitait pas à détruire se qu'elle avait construit de' même qu'à propager le vice et la débauche !
D'ailleurs, tout n'était pas rose dans son ménage, il faut le comprendre... Héphaïstos, son époux n'ayant rien contre le fait d'être extrêmement cocu avait, pour autant, la coquetterie que les fredaines de son épouse ne se fissent pas sous son propre toit ! (vous parlez d'un chipoteur), aussi fini-t-il par s'énerver lorsqu'il appris que le Dieu Mars, (celui dont on fit des barres de chocolat plus tard), venait rejoindre son épouse de nuitée, sous son propre toit, menaça d'aller prévenir son beau-frère et ami, Zeus junior.
Averti du projet, Mars, posta un vigile sous un figuier en face de la chambre à coucher, avec pour mission de venir frapper au volet si d'aventure le mari projetait de venir rejoindre Aphrodite : (Ce fut sans doute là que fut envisagé, pour la première fois, la très pénible chose qu'est le "coït interrompu".
Que merdasse, par une nuit particulièrement caniculaire, le garde s'endormit appuyé sur son arbalète... et se qui devait arriver, arriva, Héphaïstos s'en vint à pas de loup, entra sans la chambre de son épouse, la referma derrière lui, sans bruit, et d'un seul coup, d'un seul lança un filet sur le lit, emprisonnant ainsi les deux endormis, qui faits comme des rats et une fois éveillés, eurent beau
demander au cocu de les libérer, rien n'y fit !
Bien entendu, les mortels en firent des gorges chaudes car, revanchard, l'époux bafoué , les exposa sur la place principale de Chypre. Les Dieux quant à eux se contentèrent de toussoter en les voyant, mais Héphaïstos, n'en avait cure, il s'amusait comme un petit fou : Cela dura jusqu'à se que Poséidon, reconnaissant des plaisirs savourés plus avant avec la belle libertine, se démunisse d'une grosse somme d'argent pour obtenir leur libération.
Honteuse, la déesse quitta l'olympe pour longtemps, tandis que Mars, furieux transformait son garde en coq, le condamnant ainsi à annoncer le lever du jour pour l'éternité.
Les cancans apaisés et remplacés par d'autres, Aphrodite revint sur l'olympe dans un char tiré par des colombes, des cygnes et des pigeons, et bien que ce fut l'hiver aussi totalement nue que d'habitude.
Puis, tout en recommençant à tromper son mari, notamment avec Arès, qu'elle aima beaucoup, puis Dyonisos, elle fertilisa à nouveau les cultures, principalement celles des plus beaux mâles troyen, plus aisés à jeter après coup, puisqu'ils n'étaient que des mortels !
Elle fut même récompensé par Pâris, qui lui offrit la "Pomme d'or", de la ville, tandis que pour ne pas être en reste Aphrodite l'aida dans ses amours avec Hélène, (idée sympathique sur l'instant, mais qui , sans doute à cause de la pomme qui fit des jaloux, puisqu'elle fut appelé " pomme de la discorde", causa plus tard, la destruction totale de la ville de Troie !
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Par nettoue le 30 Mai 2013 à 08:10
... D'une étrange façon, il faut bien le reconnaitre mais dans l'olympe de la Grèce de l'époque, l'on s'étonnait si peu !
La sulfureuse déesse fut donc issue de la blessure faites à Zeus sénior, sur l'ordre de son épouse Gaïa la terre : Faut comprendre, son époux étant une vraie bête de sexe, procréait à tour de...bras, et là où il se trouvait. Gaïa, fit donc appel, à leur fils Zeus junior, afin qu'il castra son père avec une grosse serpette : De la mutilation jaillit alors, trois gouttes de sang, qui manque de chance pour elle, tombèrent sur son ventre, et donnèrent naissance aux Erynnies, (les trois déesses de la vengeance).
Ensuite, le fiston, les testicules de papa en mains ne sachant qu'en faire sur l'instant les lança par dessus son épaule avec une grande désinvolture sans penser une minute que le vent qui passait par là, allait les transporter avec précaution jusqu'à la mer, où il les déposa mollement au niveau du cap Drepanan, au nord-ouest de la Sicile, juste aux pieds du mont Epyx.
Ah! Comme les vagues se firent maternelles pour régénérer les pauvres choses ressemblant davantage à des loukoums surmontées d'un nem, le tout sortis et remis plusieurs fois du congélateur d'un restaurant chinois qu'aux attributs masculin d'un Dieu de l'olympe !
Des soins vigilants emplis de tendresse et de reconnaissance pour tant de services rendus parvenant à redonner vie aux coucougnettes divines fit qu'elles se remirent à fonctionner et que mêlées à l'écume des vagues, le sperme qui en jaillit s'insinua dans le ventre de la déesse Océanide, qui bientôt accoucha d'Aphrodite ; (Voyez, en fait ce fut très simple) ...Vite pubère, la déesse s'empressa de séduire Zéphir, afin qu'il l'emporta à Cythère, où après une petite pause au cours de laquelle, grâce à ses talents innés, on la surnomma bien vite, "la déesse orgiaque": De là, elle se fit ensuite véhiculer à Chypre.
Belle à damner un saint, chose dont elle ne se priva jamais, et plutôt gentillette de caractère, elle enchanta son monde de manière exceptionnelle. L'herbe grandissait et devenait plus verte sous ses pieds mignons, l'amour et le désir fleurissaient sur son passage, si bien qu'elle compta vite parmi les douze Dieux les plus importants de l'univers, avant qu'elle ne s'en devint plus tard, Vénus chez les romains, où un maladroit perdit sur l'île de Milo, les chevilles qui lui maintenait les bras.
Pas bêcheuse pour un sous, elle s'ingénia à faire naître l'amour et la folie des sens dans le cœur et
le... reste de ses copains Dieux et Déesses et surtout à s'unir, sans discrimination raciale aux terriens !
Sur le mont Olympe, se nouèrent alors des liens d'amour et d'amitié au hasard des rencontres devant des coupes d'hydromel et de bonne nourriture intemporelle !
Ce fut ainsi que pendant l'une d'elle, Aphrodite, fit la connaissance de son demi-frère Zeus junior.... L'amour fraternel aidant il lui présenta le prince troyen Anchise, avec qui elle eut une brève liaison, débouchant rapidement sur la venue au monde d' Enée, (très connu dans les mots fléchés mille cases de certains magazines,), lequel fut sans que cela fut prouvé l'ancêtre des romains.
Seulement, les conseils étant une chose et les goûts personnels une autre, Aphrodite épousa Héphaïstos, un autre ami de son frérot. Elle en eut également un bébé joufflu, Eros, représenté de nos jours dans les parcs à vocation culturelle, grassouillet comme le cul d'un porcelet et toujours muni d'un arc et d'une flèche dardée sur les passants.
A l'image de sa mère, Eros se déplaçait presque toujours tout nu : C'était d'ailleurs le cas de beaucoup, car d'une part le climat s'y prêtait et d'autre part la copulation y était plus aisée !
Aphrodite, quant à elle, aimait le faire à cheval, car montant à cru, les poils des crinières lui procuraient des orgasmes répétés.
Son premier grand adultère se fit avec Hermes qu'elle aima passionnément au point de lui concocter un enfant pas ordinaire du tout, puisqu'il s'agit d'Hermaphrodite, un Dieu qui ne sera ni homme ni femme, mais les deux à la fois et lui procurera, étant d'une grande souplesse, le pouvoir de se faire l'amour tout seul...
A demain mes ami(es), pour la suite et fin, des aventures d'Aphrodite-Vénus. Merci de votre fidélité et n'oubliez pas "Et Op, un p'tit com pour Nettoue".
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Par nettoue le 29 Mars 2013 à 18:36
Au tout début du monde, la terre n'existait pas : Elle n'était qu'un immense vide bordé au Nord par des nuages glacés, issu de onze rivières aux noms impossibles telles Elivagar, Gunnthra, Fimithut... (J'écris les plus facile), tandis qu'en dessous du vide une seconde bordure posée elle aussi sur rien du tout, était faite de tisons brûlants, le Sud !
Et puis un jour de super grand vent le haut et le bas du trou se rencontrèrent et du chaud et froid, jaillirent presque en même temps, le géant Ymir et une grosse vache, et quand je dis grosse... cela signifie énorme, répondant au doux nom Audhumia !
La glace tiédit le feu, chacun reprit sa place, mais la demoiselle tout de suite happée aux mamelles par la bouche vorace du bonhomme resta sur la banquise, ils firent amis et quand elle découvrit qu'en léchant les blocs de glace elle trouvait du sel, elle eut le premier orgasme de se vie !
Bref, un jour où Ymir cherchait le moyen de peupler son iceberg, une sueur brûlante venant de son aisselle gauche se mit à ruisseler sur le sol... D'elle naquirent aussitôt une flopée de petits géants grandissant à la vitesse du son... Rhâaalala, Audhumia, avait, il est vrai énormément- de lait , mais la source risquant de se tarir, elle eut l'idée de se secouer l'usine de production au dessus des rivières pour y faire éclore des poissons ... Ah! C'est pas beau ça ? Quand à elle, elle se contenta de lécher le sel, jusqu'à se que la langue égratignée elle n'attrape des aphtes, et se du ralentir l'allure... (Les poissons, elle n'aimait pas, et elle se mit à maigrir... )
La nature étant bien faite, un jour où elle suçotait très mollement elle se la prit dans une longue chevelure, vite suivie d'un visage, puis d'un corps tout entier !!! Que merdasse alors ! Ainsi naquit monsieur Buri, puis d'autres ... L'un d'eux épousa une demoiselle Besta, et une chose en amenant une autre, dès qu'ils surent utiliser la différence entre les filles et les garçons, ils firent une foultitude de Dieux, parmi lesquels Odin, Visil et Thor !
Comme toute cohabitation entre partis différents, celle-ci ne dura qu'un temps de relative paix...
En un mot comme en cent, jusqu'à se que Odin jaloux de l'ancienneté d'Ymir,le plus fort de tous, décide de le tuer avec l'aide de ses frères : En traître qui plus était, car poignardé dans le dos avec un pic... à glace !
Le sang jaillit alors de la blessure dans des torrents d'une violence inouïe, noyant les pauvres géants ne sachant pas nager, sauf deux d'entre-eux, Bergelmir et son épouse qui plus tard, une fois bien secs et bien cachés donnèrent naissance à une seconde génération de géants, de tailles moyenne'.
Dénué de tous scrupules devant le génocide perpétué, mais la tête pleine d'idées les Dieux utilisèrent sa chair pour la transformer en terre, ses os pour en faire des montagnes, son crâne pour créer la voûte céleste et son sang pour en faire du boudin ...? Là je ne suis pas très sur.
Des larves d'asticots se nourrissant du peu qui restait du pauvre Ymir, les Dieux en firent des nains, (trolls), à qui ils donnèrent une apparence humaine et une bonne dose d'intelligence ! Pour autant, quatre d'entre-eux furent sélectionnés pour soutenir la voûte céleste, après avoir été baptisés : Austri (Est), Vestri (Ouest), Nordri (Nord) et Sudri le (Sud).
Modsognir, fut le premier nain créer par Odin, et ses frères, mais comme au bout du compte, ils ne furent pas trouver assez beaux, les Dieux forts capricieux, les envoyèrent vivre dans le Nidavelle, et les obligèrent à rester sous terre, le jour, pour n'en sortir que la nuit : Et pour être sur, d'être obéi, ils les convainquirent que la simple lueur du jour les changeraient en pierre : Il sembleraient même que le Pic Trold-Tuderne, en Norvège, serait en fait des nains qui se seraient attardés après une bataille ! (Depuis que j'ai appris cette chose surprenante, je me demande si les menhirs... ???)
Ils furent de remarquables forgerons... Laissant pour la postérité des oeuvres d'art de toutes beautés, dont les casques viking, en héritage à des nations les appréciant que bien plus tard... Trop tard, car . puissants magiciens, et pour s'en venger les Trolls, continuent à effrayer dès la tombée de certaines nuits, les promeneurs tardifs, de nombreux pays nordiques,
Je ne sais pas se que devint la vache Audhumia, si quelqu'un à des renseignements à son sujet, qu'il n'hésite pas à m'en faire part... C'est vrai ça, j'ai souvent une pensée émue pour elle, , car l'on en parle moins que de la louve, qui allaita Romulus et Rémus, les fondateurs de Rome !
La descendance de Sutri (Sud), prospéra elle aussi, mais dans une douce chaleur qui au fil des années leur donna un plus ou moins profond bronzage !
Et souvenons-nous qu'actuellement encore les éleveurs donnent du sel à lécher aux bovins !
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